Sarah Ritter
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Au gré des rencontres, des images parfois trouvées, des morceaux de textes... un peu au hasard, peut-être, des images dont la place n'est pas assignée, cernée. Une collecte de phrases à travers les lectures et les discussions, sans objet sans doute.

"L'oeil est le chien qui nous conduit." Diderot
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M.E.B.  institut femto-st
"Le monde était pour lui d'un seul bloc ; une main confirmait les astres".
Mémoires d'Hadrien, M. Yourcenar.
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Elle dit "c'est des bêtes de somme".
Elle dit "une verrue dans le paysage".
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"Je vais donc vous raconter des faits que je n'ai pas vus, des aventures qui ne me sont pas arrivées et que je ne tiens de personne ; j'y ajoute des choses qui n'existent nullement, et qui ne peuvent pas être : il faut donc que les lecteurs n'en croient absolument rien."
Lucien, cité par Férérique Aït-Touati, Contes de la lune.


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La beauté, c'est casse-gueule.
P.

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"D'abord, presque toujours, ces personnages [Don quichotte, Manon Lescaut, Ivanhoë, etc], dont l'existence devient plus longue, plus authentique que celle des générations au milieu desquelles on les fait naître, ne vivent qu'à la condition d'être une grande image du présent. Conçus dans les entrailles de leur siècle, tout le coeur humain se remue sous leur enveloppe, il s'y cache souvent toute une philosophie. Walter Scott élevait donc à la valeur philosophique de l'histoire le roman, cette littérature qui, de siècle en siècle, incruste d'immortels diamants la couronne poétique des pays où se cultivent les lettres. Il y mettait l'esprit des anciens temps, il y réunissait à la fois le drame, le dialogue, le portrait, le paysage, la description ; il y faisait entrer le merveilleux et le vrai, ces éléments de l'épopée, il y faisait coudoyer la poésie par la familiarité des humbles langages."
Balzac, avant-propos de la Comédie Humaine.

Tout le monde reste immobile et attend, les épaules levées, le visage tendu par-dessus le regard, l'épouvantable fracas. Tel est ici le silence.
Rainer Maria Rilke, Les carnets.
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"Il existe d'autres manières de s'égarer", Objectivité, L. Daston et P. Gallison
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 Elle écrit  "on nous a jeté des pierres."

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    Besançon

C. m'explique la psychose "Tout est vrai, tout est réel, tout est grave."
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"La visibilité de l'usine ne doit plus rien à la lumière des astres". La nuit, Michaël Foessel.
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Valbois
(Plus tard, en voyant les photographies que Paul Strand a faites des habitants d'un village italien, Luzzano, photographies saisissantes de présence violente, presque douloureuse - les êtres sont là, seulement là - ,  je penserai me trouver devant un idéal, inaccessible, de l'écriture.)
Annie Ernaux, Journal du dehors.

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L.
Dans les navires marchands, l'huile pour les matelots est plus rare que le lait des reines. S'habiller dans l'obscurité, manger dans l'obscurité, trébucher dans l'obscurité sur sa paillasse est le lot habituel. Mais le baleinier, lui, comme il cherche la nourriture de la lumière, vit dans la lumière. Il fait de sa couchette une lampe d'Aladin et s'y étend, de sorte que, dans la plus sombre des nuits, la coque du navire recèle toujours une clarté.
Moby Dick, Melville.
Si nous ne trouvons pas de choses agréables, nous trouverons au moins des choses nouvelles.
Candide, Voltaire.
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Scan deux
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Ma grand'mère. Paris.

« Pour m’amuser, je disais : je travaille sur les zones d’ombres des lumières. » Marc Trivier

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Besançon

"La photographie: toujours positionnée dans un triangle formée par la peinture, la littérature et le cinéma. Trois espaces : la galerie, la salle de lecture et la salle de projection."
A. Sekula
"Nous vivons dans un roman colossal (en grand et en petit)"
Novalis via JC Bailly.
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Besançon



« Je me souviens d’avoir été particulièrement ennuyé par la position qu’avait prise l’exposition de la George Eastman House à Rochester en 1975, New Topographics, même si j’aimais l’œuvre de la plupart des photographes qui y participaient. On y voyait un paysage modifié par les hommes, de manière parfois absurde, mais aucune vraie présence humaine ou sociale. En 1976, je plaisantais en disant que c’était l’école de la “bombe à neutron” de la photographie : on tue les gens mais on protège l’immobilier »
Allan Sekula

"Si, plus que le jeu changeant de la lumière pratiquement impossible à saisir aujourd'hui par d'autres moyens, l'enregistrement de l'apparence des objets était la mission essentielle de la photographie, nous serions bien contraints de nous satisfaire de cette photographie plate, grise, pauvre en lumière et vouée au mimétique. Aucun de ceux qui sont aujourd'hui un tant peu habitués à regarder la photographie ne se range à cet avis."
Laszlo Moholy-Nagy


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"Elle frémissait, en soulevant de son haleine le papier de soie des gravures, qui se levait à demi-plié et retombait doucement contre la page. C'était, derrière la balustrade d'un balcon, un jeune homme en court manteau qui serrait dans ses bras une jeune fille en robe blanche, portant une aumônière à sa ceinture; ou bien les portraits anonymes des ladies anglaises à boucles blondes  qui, sous leur chapeau de paille rond, vous regardent avec leurs grands yeux clairs. On en voyait d'étalées dans des voitures, glissant au milieu des parcs, où un lévrier sautait devant l'attelage que conduisaient au trot deux petits postillons en culotte blanche. D'autres, rêvant sur des sofas près d'un billet décacheté, contemplaient la lune, par la fenêtre entr'ouverte, à demi drapée d'un rideau noir. Les naïves, une larme sur la joue, becquetaient une tourterelle à travers les barreaux d'une cage gothique, ou, souriant, la tête sur l'épaule, effeuillaient une marguerite de leurs doigts pointus, retroussés comme des souliers à la poulaine."
Madame Bovary, Flaubert.


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M.
“Où que je me sois assis, j’aurais pu vivre là, car le paysage émanait de moi”. Walden, Henry D. Thoreau.
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Talinn
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Au Louvre


"...arrêtée, la vie y palpite encore , pourvu que, face à l'image, nous prenions les moyens d'en faire de l'art, à savoir la prolonger dans l'espace invisible de notre  respect pour ce qu'elle indique en se gardant bien de le montrer." Lignes de mire, Lamarche-Vadel

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Helsinki




















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